Six films soutenus par la Région Nouvelle-Aquitaine sélectionnés pour la 30e édition du festival Côté court de Pantin
Publié le
27/04/2021
Cinq films soutenus par la Région Nouvelle-Aquitaine et accompagnés par ALCA figurent parmi la sélection de la 30e édition du festival Côté court de Pantin qui se déroule du 9 au 19 juin 2021.
Souvenir souvenir, animation de Bastien Dubois, Blast Production, 15’
"Pendant dix ans, j’ai prétendu vouloir faire parler mon grand-père sur la guerre d’Algérie. Aujourd’hui, je ne suis plus sûr de vouloir entendre ce qu’il a à dire, ni d’avoir envie de faire ce film d’ailleurs."
Folie douce, folie dure, animation de Marine Laclotte, Lardux Films, 18’
Une balade dans le quotidien de plusieurs institutions psychiatriques, à la rencontre de personnes hors norme qui nous laissent entrer dans leur intimité.
Trona Pinnacles, animation de Mathilde Parquet, Girelle Production, coproduction : Novanima Productions.13’
Gabrielle, une jeune fille de 19 ans, se retrouve coincée près de la vallée de la Mort entre ses deux parents qui ne s’adressent plus la parole. Tous trois, se sentant pris au piège, essayent de fuir la tension ambiante, dans un décor immense qui leur paraît immuable. La situation semble sans issue, jusqu’à ce qu’un événement inattendu vienne tout désamorcer…
Filles bleues, peur blanche, animation de Marie Jacotey et Lola Halifa-Legrand, Miyu production, 10’
Un couple sur les routes de Provence. Nils conduit Flora chez ses parents pour la première fois quand ils tombent dans une embuscade. Alors qu'elle est faite captive, il s'enfuit. Dans la nuit de la pinède, elle se retrouve face à ses doutes.
Brûlent les villes, brûle le ciel, fiction de Frédéric Bernard, Too Many Cowboys, 19’
"Enfin la fête, enfin le feu", chantent Clem et Ibra au milieu de ce village déserté. Sous la canicule, la langueur les consume. Au loin, les lumières de la ville et de la fête les attirent.
Fille de la mer baltique, documentaire d’Éléonore Berrubé, Petit Chaos, 53’
Anastasia est une jeune femme russe née dans les cendres de l’Union soviétique, à l’aube d’Internet. Elle vit maintenant en France depuis plusieurs années. À la mort soudaine de son père, Anastasia éprouve un vertige : celui de devoir trouver sa place dans cette nouvelle réalité.
Citons également le film Palma, fiction d’Alexe Poukine, produit par la société Kidam, dont l’équipe et les bureaux sont répartis entre Bordeaux et Paris.
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